dimanche 30 août 2009

« LEAN », un outil de gestion à la disposition des entreprises, attention à l’emploi !


« LEAN » est un outil de gestion à la disposition des entreprises. Comme tel, Snecma aussi en a fait un projet d’entreprise, en le spécifiant comme une démarche « LEAN » élargie. Ne pas le faire, c’est prendre le risque d’être « largué » par la concurrence. Il se déploie aujourd’hui dans l’entreprise avec ses conséquences.

La première fois que nous avons traité du sujet « LEAN » sur ce blog, c’était après la réunion du CCE Snecma du jeudi 14 février 2008,
ici en rappel, après le rapport de l’expert comptable du CCE. C’était là que nous avions su que la démarche « LEAN » était déjà expérimentée depuis 2004 dans certains secteurs d’ateliers de l’entreprise et que 2006/2007 était déjà le déploiement de « Lean Manufacturing » dans les CEI (Centre d’Excellence Industrielle).

Cette fois, c’est dans le rapport de l’expert comptable réalisé pour la réunion du CCE Snecma du mercredi 22 juillet 2009 que nous avons découvert concrètement des résultats de la pénétration du LEAN dans d’autres secteurs de l’entreprise. Nous y reviendrons plus loin dans cet article !

Ainsi, nous avons pu découvrir ce qui serait la « Philosophie et les objectifs » de LEAN à Snecma.

"C’est ce qui a conduit à une reconception complète de l’organisation du travail au Montage des moteurs, avec passage à la « Pulse line » qui met le « takt time » au cœur des cycles de production ; organisation adoptée pour pouvoir atteindre les objectifs ".

Ainsi, le « LEAN Manufacturing », avec le « moving line » (la ligne de montage se déplace, inspiré des chaines de montage en continu de l’industrie automobile) à Villaroche, consacre une rupture par rapport à l’organisation antérieure du travail. La reconception de l’organisation des magasins a été revue pour que le système d’approvisionnement soit réalisé à la même cadence que la « pulse line », lire le détail sur l’Intranet CFTC Snecma.

Le LEAN Engineering, autre application destinée cette fois au processus de développement et de standardisation du management d’équipe

Cette fois, c’est au « saint des saints » de l’entreprise auquel le LEAN s’attaque. Pour le moment, il ne s’agit encore que du « Département Conception et Développement » de la Direction Technique (« La DT »).

L’objectif fixé à cette application de Lean, c’est de mesurer et d’optimiser le temps de développement des Logiciels embarqués pour la régulation des moteurs, avec l’aide méthodologique du cabinet « Mac Kinsey », ses « Scrum » tous les jours à heures fixes, ses « post it » collés sur un tableau d’avancement des tâches, ses « courtes réunions de 15 minutes » animées par des « Propriétaires », ses « micro-planning »….

L’objectif de toutes ces démarches étant… aussi de rationnaliser et d’uniformiser le mode de management des équipes

Le LEAN Office, autre application destinée aux activités administratives

Lire le détail sur l’Intranet CFTC Snecma.

A quel autre secteur de l’entreprise est le tour de se voir appliquer sa démarche LEAN ?

Et comment réagir face à ce bouleversement que nous constatons ?

Devant ce bouleversement inexorable en marche dans l’entreprise comment réagir ? En sachant que c’est à la demande des membres représentant des salariés au CCE Snecma que leur expert comptable a procédé à l’étude. Nous n’en faisons ici, qu’une synthèse.

Par ailleurs, les salariés sollicités dans leurs différents secteurs pour participer aux travaux du Lean, accomplissent leur mission avec une certaine ferveur et enthousiasme.

Chacun se doute t-il seulement des conséquences de ces différentes démarches de LEAN auxquelles ils participent pour leur mise en œuvre ? Peut-on faire autrement ?

Pour ce qui concerne la CFTC, face au constat que nous faisons ici et les interrogations qui en découlent, nous ne pouvons pas être insensibles aux problèmes sous-jacents qui accompagnent les conséquences du LEAN dans l’entreprise, L’EMPLOI et les Conditions de travail des salariés.

Pour autant, nous sommes conscients qu’une entreprise comme Snecma qui ne s’adapterait pas aux règles subies de la mondialisation et aux nouvelles exigences de la concurrence mondiale est appelée à terme à disparaitre du paysage industriel mondial.

Mais, face à ces gains de productivité que Snecma va faire avec le LEAN, la règle des trois tiers prônée, des années durant par la seule CFTC trouve sa justification et toute son actualité aujourd’hui, vu le nombre important de postes de travail appelé à être réduit dans le cadre de l’application du LEAN.

Il y a donc moyen de trouver entre la Direction Générale et les Syndicats une forme de dialogue social autre que celui du rapport de force, cher à ces syndicats partisans de la lutte des classes.

Quel syndicat autre que la CFTC Snecma est le mieux placé pour servir de trait d’union pour la construction de cette alternative crédible au service des salariés de l’entreprise ?
La voie des commentaires sur ce Blog est à votre disposition, n’hésitez pas à vous en servir pour donner vos idées et pour des propositions que vous pouvez faire sur tel et tel point, traité sur le Blog !

samedi 29 août 2009

La Rupture Conventionnelle, attention au marché de dupes !


En répondre à des demandes exprimées dans les commentaires ici, sur le Blog, nous vous proposons un simulateur d’indemnités de rupture Conventionnelle. Il vous permettra d’estimer l’indemnité auquel vous pourriez prétendre dans votre cas personnel. Ceci est à titre d’information.

***

La rupture Conventionnelle du Contrat de Travail en CDI a été crée, il y a un an, en juillet 2008 par la Loi portant « Modernisation du marché du Travail ». Ce nouveau mode de rupture du CDI n’est pas un licenciement ni une démission ; c’est une rupture à « l’amiable » du Contrat du Travail, comme ils disent !

C’est la Loi et la CFTC Snecma n’a rien à y redire.

Seulement, lorsque la CFTC Snecma constate qu’il y a détournement de l’idée même de cette Loi et de ses objectifs sur l’aspect « Rupture Conventionnelle », la CFTC ne peut rester silencieuse et être jugée comme complice des dérives qu’elle constate comme beaucoup, sur l’utilisation de cette Rupture Conventionnelle.

Après une année d’application, les statistiques et les articles qui sortent à ce sujet sont curieusement silencieux sur certains aspects de l’application de cette Loi. Il n’est mentionné nulle part l’utilisation de cette formule pour faire des mises à la retraite en catimini pour des salariés âgés de 57 à 59 ans.

En analysant les
premières statistiques publiées par le service de la DARES auprès du Ministère du Travail, on ne trouve pas de détail des demandes reçues ; par exemple, par type de demandes : Salariés jeunes, salariés proches de la retraite, Hommes/Femmes, par catégorie Socioprofessionnelle…, comme si cela n’intéressait personne.

La CFTC Snecma demande le détail des candidats au départ dans le cadre de la Rupture Conventionnelle.

Nul n’a le droit d’empêcher ni de décourager toute personne intéressée par la rupture conventionnelle, mais il est de notre devoir d’informer complètement les salariés sur toutes les conséquences qui en découlent.

Par exemple, pour un salarié âgé de 57 à 59 ans qui n’a pas encore toutes ses annuités, plus de 40 ans aujourd’hui, s’il quitte l’entreprise dans le cadre de la rupture Conventionnelle, il perd, entre autre, le maintien des garanties Prévoyance Groupe SAFRAN, ceci conformément à la portabilité des droits à la prévoyance, article 14 de l’Accord National Interprofessionnel (ANI), du 11 janvier 2008 sur la Modernisation du Marché du travail, son avenant du 11 janvier 2009 (arrêté d’extension publié le 20 mars 2009) et l’avenant n°3 du 18 mai 2009 précisant que l’article 14 entre en application, le 1er juillet 2009.

Et nous n’oublions pas qu’un tel salarié de 57 à 59 ans qui serait alléché par le miroir d’une indemnité d’une année de salaire brut puisse espérer retrouver un emploi après ses neuf mois de bénéfice de la Prévoyance Groupe SAFRAN avant de jouir de sa retraite pleine et entière.

De plus, une telle sortie à la hussarde de son entreprise, après y avoir consacré toute sa vie, plus de 38/39 années durant n’est pas très glorieuse. Dans la vie tout ne peut être acheté, pas même, une année de salaire brut ! Il y a d’autres valeurs dans la vie !

La possibilité d’utiliser les commentaires est à votre disposition, n’hésitez pas à vous en servir ici, sur le Blog.

vendredi 28 août 2009

La Santé au travail, c’est l’affaire de tous, dans l’entreprise !



La santé est le bien le plus cher qu’il faut préserver. Et le lieu de travail est là où le salarié actif passe la plupart de son temps conscient, 5 jours sur 7.

Par conséquent, la santé au travail est la chose importante à laquelle l’entreprise doit tout faire pour que le salarié puisse la conserver.

L’outil de veille et de suivi de la santé au travail dans le secteur de l’Aéronautique est EVREST. Il est adopté aussi par le Groupe SAFRAN et porte l’appellation : « Observatoire EVREST SAFRAN ».


Lors de la réunion du Comité d’établissement Evry-Corbeil du jeudi 18 juin dernier, la Médecine du Travail a présenté pour l’établissement, les résultats de l’EVREST, année 2008. Un outil en cours de déploiement dans toute l’entreprise Snecma.

EVREST, c’est ÉValuation des Relations et Evolutions en Santé au Travail

C’est un outil qui a été développé à son origine à l’Aérospatiale, fin des années 1980, avec la création d’un Département Ergonomique, suivi dans les années 90 d’un programme d’études internes appelé « Age et activité », en coopération avec le « CREAPT ».

C’est au sein de l’EADS après les changements qui ont conduit à la fusion Aérospatiale et Matra en donnant EADS qu’EVREST est né, à partir des deux questions :

• Comment suivre les évolutions du travail et de la santé ?
• Quel apport de la Médecine du Travail ?


Le Groupe SAFRAN a choisi EVREST comme projet, avec le nom de « Observatoire EVREST SAFRAN » et Snecma le décline dans ses établissements, comme probablement doivent le faire, les autres sociétés du Groupe

EVREST est un observatoire pluriannuel par questionnaire simple sur des données relatives au Travail et à la Santé recueilli lors de visités médicales périodiques, annuelle ou tous les deux ans, recueil systématique ou par échantillonnage tiré au sort.

Le questionnaire comporte :

• des données administratives,
• les Conditions de Travail
(Horaires, contraintes de temps, appréciation sur le travail, charge physique et autres nuisances),
• la Formation (Formation et Tutorat),
• le mode de vie (Sport, tabac, alcool, café),
• L’état de santé (Cardio-respiratoire, Neuropsychique, Dermatologie, Digestif, Osteo-articulaire).

Les résultats 2008 présentés au CE le 18 juin 2009 ont été obtenus sur une population totale de 2.838 salariés hors ALD (Absence Longue Durée) :

• 211 questionnaires remplis,
• 8 % de l’effectif total (14 % hors ALD),
• 0 refus


Il ressort de cette étude :

• Participation par CSP (Catégorie socio professionnelle) de :

▪ Ouvriers : 34 % à Evry-Corbeil ; 16 % pour Snecma,
▪ Employés : 28 % à Evry-Corbeil ; 6 % pour Snecma,
▪ Techniciens : 29 % à Evry-Corbeil ; 49 % pour Snecma,
▪ Agents de Maitrise : 7 % à Evry-Corbeil ; 3 % pour Snecma
▪ Cadres : 15 % à Evry-Corbeil ; 28,5 % pour Snecma

• % de chaque catégorie d’âge :

▪ Moins de 30 ans : 7,5 % à Evry-Corbeil ; 5 % pour Snecma,
▪ De 30 à 39 ans : 14,5 % à Evry-Corbeil ; 13 % pour Snecma,
▪ De 40 à 49 ans : 39,5 % à Evry-Corbeil ; 39,5 % pour Snecma,
▪ 50 ans et plus : 39,5 % à Evry-Corbeil ; 42,5 % pour Snecma

• % par sexe :

▪ Femmes : 19,5 % à Evry-Corbeil ; 14 % pour Snecma,
▪ Hommes : 80,5% à Evry-Corbeil ; 86 % pour Snecma,

• Contraintes des temps :

a) Cadences, délais, cumul de tâche, variabilité, (0 : Pas difficile ; 10 : Très difficile)

▪ Plus de 5 : 43,8 % à Evry-Corbeil ; 46,2, % pour Snecma,
▪ 5 ou moins : 56,2 % à Evry-Corbeil ; 56,8, % pour Snecma,

b) Charge de travail (Trop vite une opération qui demanderait davantage de soin)

▪ Assez et très souvent : 26,7 % à Evry-Corbeil ; 30,7, % pour Snecma,

- Cadres : 48 % ; Technicien : 35 %, Ouvriers : 14 %,
- Moins de 30 ans : 13 % ; entre 30 et 39 ans : 51 % ; entre 40 et 49 ans : 32 %, 50 ans et plus : 39 %

▪ Déclare dépasser leur horaire : 39 % à Evry-Corbeil ; 47,7, % pour Snecma,
▪ Déclare sauter le repas : 14 % à Evry-Corbeil ; 12,2, % pour Snecma,

• Appréciation sur le travail :

Reconnaissance :

Plutôt non et pas du tout : 31,7 % à Evry-Corbeil ; 37,1, % pour Snecma,

• Charge physique : Pénibilité des gestes répétitifs

Des difficultés particulières ?

Oui, modérée et importante : 58,3 % à Evry-Corbeil ; 42,1, % pour Snecma,

- Ouvriers : 33 % ; Employés : 17 % ; Techniciens : 7,5 %,
- Moins de 45 ans : 20,5 % ; Plus de 45 ans : 19 %

• Trajet domicile-Travail : Long ou pénibles ?

Oui : 21,3 % à Evry-Corbeil ; pour 21,9 % Snecma

• Problèmes Neuropsychiques : des signes psychologiques depuis la dernière visite ? Oui :

- Sans gêne : 16 % à Evry-Corbeil ; 9,4 % pour Snecma,
- Avec gêne : 15,8 % à Evry-Corbeil ; 22 % pour Snecma.

Entre 29 % et 33 % pour tous les CSP et quelque soit l’âge

Analyse et réponse CFTC

Ces quelques exemples montrent qu’avec EVREST nous avons des chiffres sur la santé des salariés dans l’entreprise. Tout n’est pas « tout blanc » ni « tout noir ».

Tout d’abord, la CFTC invite tous les salariés à participer à cette opération en participant au questionnaire.

Pour la CFTC, c’est désormais au CHSCT de se saisir de ces résultats pour agir pour l’amélioration de la santé des salariés dans l’entreprise.

Mais, pas davantage la CFTC que les autres Syndicats ne pourrons faire le bonheur des personnes sans elles.

C’est d’abord et avant tout aux salariés de réagir, se libérer de leurs propres contraintes, qu’ils se sont mises en restant isolés sans s’ouvrir aux autres.

Il ne faut pas attendre que les choses deviennent dramatiques ; malheureusement comme c’est arrivé chez Renault, et à France Telecom pour qu’enfin, cela soit su, mais hélas, trop tard !

La CFTC appelle les salariés qui seraient concernés à ne pas rester seuls, isolés dans leur coin. La CFTC les appelle à s’ouvrir aux autres et à se rapprocher des Syndicats qui ne demandent qu’à les aider.

La voie des
commentaires sur ce Blog est à votre disposition, n’hésitez pas à vous en servir pour donner vos idées et pour des propositions que vous pouvez faire sur tel et tel point, traité sur le Blog !

mercredi 26 août 2009

Dossier Harmonisation des statuts : Encore des questions sur le thème « Conditions d’emploi » !



Jeudi 23 juillet 2009 a eu lieu au siège Snecma Courcouronnes la réunion de négociation sur l’harmonisation des statuts consécutive au nouveau périmètre Snecma effectif au 1er février 2009. Un dossier initié le mardi 27 avril 2009, voire l’article en rappel.

La DG avait présenté un projet partiel reprenant les accords qui avaient fait l’objet de propositions d’extension lors de la réunion précédente sur le thème « Evolution de carrière ». Ce projet partiel était destiné à montrer la trame de ce que sera le projet d’accord au final sur l’harmonisation, lorsque tous les termes de négociation identifiés auront été étudiés et fait l’objet d’un accord de principe pour une extension.

Ce projet partiel a été lu, amandé et fait l’objet de validation par chaque délégation syndicale.

Le thème traité ensuite lors de cette réunion du jeudi 23 juillet dernier était : « Conditions d’emploi ».
cliquez-ici pour prendre connaissance de l’ensemble des accords existants dans les trois sociétés et pris en compte pour cette étude d’harmonisation sur ce thème.

C’est une étude encore plus détaillée des accords existants à étudier qui a été réalisée. Elle montre la très grande proximité de ces différents accords sur la presque totalité des points ; qu’il s’agisse, de « l’embauche », du « Contrat de Travail », du « travail en équipe », du « déplacement et détachement »…

C’est sur le thème « Formation Professionnelle » que les choses restent à affiner.

En effet, Snecma n’a pas d’accord Formation, signé ; négocié, Oui, conclu, Non. Alors qu’il en existe un, à l’ex-Snecma Services et également à Hispano-Suiza, pour les ex-400 salariés qui en sont transférés.

Or, l’étude comparative détaillée de chacun des thèmes se trouvant dans les accords Formation de l’ex-Snecma Services et Hispano-Suiza sont également traités dans les accords GPEC et Mobilité de Snecma, à l’exception de l’utilisation du DIF (Droit Individuel de Formation), en particulier, dans le cas de formation répondant à l’initiative partagée du salarié et de l’entreprise ; et ainsi que des modalités de gestion du « Catalogue DIF », pour lesquelles la CFTC a demandé une gestion partagée entre l’entreprise et les organisations syndicales signataires.

La CFTC n’est donc pas favorable à l’extension aux salariés Snecma de l’un ou l’autre des deux accords Formation de l’ex-Snecma Services et d’Hispano-Suiza.

La CFTC demande en revanche à la DG Snecma de s’engager à remettre en signature dans un délai très proche, l’Accord Formation déjà négocié à Snecma en y incorporant les points évoqués sur l’utilisation du DIF et la co-gestion du « Catalogue DIF » et en tenant compte des demandes exprimées notamment par la CFTC.

Ces points satisfaits, la CFTC serait favorable pour que les accords ci-dessous soient retenus pour faire l’objet d’une proposition d’extension aux salariés qui ont rejoint Snecma dans le cadre de l’évolution de son périmètre au 1er février 2009. Toutefois, en y incorporant les avantages existants sur certains aspects des accords de nos collègues de l’ex-société Snecma-Services et d’Hispano-Suiza :

• Accord du 30 mai 1997, relatif à la Convention d’Entreprise Snecma, avec maintien des dispositifs existants dans chacune des trois sociétés sur « l’attribution de vêtements de travail » ;

• Accord du 30 janvier 2009, relatif à la GPEC, déjà retenu sur le thème « Evolution de carrière » ;

Pour information, lire en rappel, l’
article relatif aux propositions d’accords sur « l’Evolution de Carrière » ainsi que l’état des signataires des accords existants dans les différentes sociétés, en global et par thème.

La voie des
commentaires sur ce Blog est à votre disposition, n’hésitez pas à vous en servir pour donner vos idées et pour des propositions que vous pouvez faire sur tel et tel point, traité sur le Blog !

dimanche 16 août 2009

La nouvelle Prévoyance Groupe SAFRAN est opérationnelle depuis le 1er juillet 2009 !



Après plus de trois années d’études, de négociations, la nouvelle Prévoyance Groupe SAFRAN est opérationnelle depuis le 1er juillet 2009 dans l’ensemble des sociétés du Groupe, une trentaine, plus de 45.000 salariés.

A fin juillet 2009, chaque salarié actif bénéficiaire du nouveau régime de santé a eu son prélèvement de cotisation effectif sur sa feuille de paie. De plus, pour ceux concernés par une mesure de compensation salariale consécutive à l’augmentation de leur cotisation à la suite de l’amélioration de leur couverture de santé ont également bénéficié sur leur feuille de paie du mois de juillet 2009, de cette mesure salariale complémentaire.

Par ces faits, les 45.000 salariés actifs des sociétés du Groupe sont aujourd’hui en mesure de porter une appréciation précise, un jugement sur ce nouvel acquis des salariés du Groupe SAFRAN.

La CFTC qui a joué un rôle locomoteur dans la réalisation de ce dossier, depuis son origine, le 20 février 2006 jusqu’à sa mise en œuvre aujourd’hui donne la parole aux salariés pour qu’ils s’expriment.

Un sondage est lancé à cet effet sur le Blog CFTC Snecma. La CFTC vous invite à y participer en très grand nombre.

Remarque : Pour ce sondage, penser à répondre aux deux questions pour un seul vote, en cliquant sur « vote ».

Pour les retraités des mêmes sociétés du Groupe SAFRAN, ils ont jusqu’au 30 juin 2010 pour décider s’ils souhaitent adhérer au nouveau dispositif.

Les retraités concernés sont ceux des sociétés du Groupe, bénéficiaires au 30 juin 2009 d’un régime d’accueil préexistant au sein du Groupe SAFRAN.

N’hésitez pas à intervenir via les
commentaires que vous pouvez faire ici, sur le Blog.